Je suis toujours gêné lorsque j’entends un journaliste dire : untel est reçu sur les terres de monsieur x qui est un élu de la république et non un châtelain moyenâgeux.
D’autre part peut-on m’expliquer la différence entre un match de foot ou rugby par exemple Nice vs Lyon et le choc par exemple Marseille vs Paris. La notion de choc apparait à quel moment pour un journaliste sportif ?
Trop de superlatif tue le superlatif

Votre journaliste vedette a encore parlé DES élections présidentielles. Je m’étonne de son ignorance. On doit parler DE l’élection présidentielle. On élit UN président, pas plusieurs. Merci de faire attention

Quand les journalistes cesseront ils de se gargariser avec : « du jamais vu » ? Ras le bol !

Votre chroniqueur politique a parlé des élections présidentielles (et personne ne l’a repris!!!) GRAVE CONTRESENS !
NON, NON et NON!
Il faut parler de l’élection présidentielle au singulier. On élit un président, pas plusieurs.
Le 10 avril a lieu le premier tour de l’élection présidentielle et le 24 avril le second tour (pas le deuxième car il n’y a pas trois tours mais deux, donc premier et second)
En revanche, on parle d’élections législatives au pluriel car on élit 577 députés.

Entendu par deux fois cet après-midi à propos du SYNERPA (Syndicat National des Établissements … pour Personnes Âgées) dans la bouche de deux journalistes différents, dont un de vos présentateurs vedettes de l’après-midi : « deux mille ZEHPAD ». C’est quand même gênant de devoir rappeler à des journalistes de radio habilités à parler sur une radio nationale que le mot « mille » est invariable.

Je suis un auditeur assidu de France info. Je suis frappé par la fréquence des anglicismes, parfois absurdes, employés au cours des émissions comme des fils info. On y entend des « secure », des athlètes « propres », les « évidences scientifiques », du « définitivement » au lieu d’assurément, etc. Je ne suis ni un vieux grognon (j’ai 31 ans), ni un fanatique de la pureté de l’expression, mais j’estime qu’il faut savoir faire preuve d’un peu de maîtrise, surtout lorsqu’on s’adresse à la France entière, et que des mots français simples sont disponibles et ne demandent qu’à être utilisés. Je suis persuadé que mes grands-parents, s’ils vous écoutaient, ne comprendraient tout simplement pas certaines phrases

Entendu ce matin, dans la bouche de l’un des deux invités des Matins, responsable d’une antenne de Radio France destinée aux « jeunes », l’adjectif Réputationnel. Auriez-vous la gentillesse de lui transmettre ce lien https ://www.academie-francaise.fr/reputionnel

D’accord : « compliqué » est à la mode, mais soyez sympas de rappeler que « difficile » existe encore (et est souvent plus approprié) …

En fait, que veut dire en fait ? j’en compte une bonne cinquantaine par jour, ce tic de langage devient insupportable !

Merci de ne pas confondre  » isolation  » (matériau) de l' » isolement « (personne) ! Les maths c’est bien. Le français c’est bien aussi.

Aujourd’hui dans la chronique Jardin, voici ce qu’on entend : « celles et ceux qui vivent en appartement », suivi de la variante « ceux et celles qui vivent en appartement ». Comme c’est bizarre ! Y a-t-il des « celles » et des « ceux » qui vivent les uns ensemble et les unes ailleurs ? Ségrégation à tous les étages ? Où sont donc les couples hétéros ? Et quant à ce qui suit, « celles et ceux qui viendront cultiver leurs légumes », ce sont les hommes en bataillon aux tomates et les femmes ensemble aux patates ? ou l’inverse ? Ma réaction tient en un mot : ras-le-bol ! J’aimerais bien que les journalistes du Service public évitent d’imposer leurs fantasmes à leurs auditeurs et se contentent de parler français, et laissent tomber l’inepte « celles et ceux » brandi comme un drapeau du progressisme à deux sous.

Pourquoi les Français utilisent-ils tant d’anglicismes alors que la langue française possède les mots justes ? ex : cookie, cake, car, sweat shirt, look, relooker, scotché, planning, meeting, mail, etc… Le Français ne voit-il pas que son vocabulaire « anglais prononcé à la française » est un abandon. Et vive les accents ! Je les aime tous, ils chantent et nous font voyager dans le temps !

En écoutant vos informations de 13 h je suis heureux d’apprendre la création d’une « Giga-Factory »de batteries pour automobiles dans notre pays.
Dois-je comprendre qu’il s’agit d’une « usine géante » ? Même nombre de syllabes, mais dans un cas deux mots français compréhensibles de tout le monde…
Vous êtes France-Inter, pas British-Inter, assumez s’il vous plaît !

Parmi les nombreuses fautes de français commises tous les jours à l’antenne, France Inter pourrait se donner deux missions : faire la liaison quand on parle des « Zeuros » (et non des « Heuros »)remettre le digital au bout du doigt et lui préférer le numérique s’agissant des nouvelles technologies !

Fidèle auditeur cela fait des années, cher animateur, que je vous entends, comme ce lundi matin même, utiliser le verbe « préempter » en lieu et place de « coopter ».
Préempter, c’est, en droit, faire jouer un droit de préemption pour acquérir (qqch.) ou plus couramment, retenir quelque chose ou quelqu’un au détriment d’autrui, accaparer ou monopoliser le débat par exemple.
Coopter, lui, signifie adopter par cooptation (cooptation : Dans une assemblée, nomination d’un membre nouveau par ceux qui en font déjà partie).
Voilà. Je sais, ça peut faire un peu cuistre mais ça fait surtout des années que je pense en me retenant à tous les collègues de votre maman et bien d’autres (dont je suis, vous l’aurez compris) dont vous écorchez les oreilles à chaque répétition de cette erreur. Et comme je vous le signale par courriel, n’y voyez aucune volonté d’humiliation, bien au contraire, juste un besoin d’édification dirai-je avec un sourire.

Ce matin, une fois de plus, sur France Inter j’ai entendu cette horreur devenue virale : « du jamais vu depuis 2007… ». On ne peut juxtaposer le mot JAMAIS avec une date courte. Eventuellement, encore que ce soit limite, on peut l’accoler avec une date longue comme « du jamais vu depuis le début des relevés météo. » ou encore « du jamais vu depuis le début de l’ère chrétienne… ». Le mot JAMAIS a un sens qu’on ne peut dévoyer en l’accolant avec un quasi immédiat.

Merci de mettre fin à cette dérive langagière.

Est-ce normal sur France Culture que le titre d’un podcast soit « Caroline Champetier, cinematographer ». Pourquoi un terme anglais préféré à « chef opérateur » ou « directeur de la photographie ? »….

J’insiste sur le pourquoi. Car chez tous les c… qui trouvent l’anglais tellement plus cool, tellement plus crédible, je vois l’intention. Mais sur France Culture, j’aimerais qu’on m’explique.

Le 23/01, à un des journaux de fin de journée (je n’ai pas noté l’heure), nous avons eu de nouveau droit (ce n’est pas la première fois) à une subordination de témoins ou à des témoins subordonnés. Subornation et subornés suffisent. Tous les subordonnés ne sont pas subornés. Et tous les subornés ne sont pas subordonnés.

Vous conviendrez, je l’espère, qu’il est assez sidérant d’entendre, lors de la diffusion des informations, EDF prononcé eudéhef, alors même que le E correspond au É d’électricité.

Vous viendrait-il à l’esprit de parler de l’euna (École Nationale d’Administration, vous l’aurez compris…) sous prétexte qu’on l’écrit sans accent sur le E ???

C’est pourquoi je vous invite à faire remonter l’info.

Auditeur inconditionnel de France Inter dès le matin (après le journal de 7h je pars au travail en vélo pour 50mn de froid mais en écoutant toujours…), j’entends vos journalistes parler du BOURKINA FASO alors que c’est le BURKINA FASO, merci de les prévenir !

Une fois de plus (compte-rendu de la manifestation à Bruxelles du 23 janvier), nous avons droit à l’expression « en marge » pour qualifier les violences intervenues lors d’une manifestation. Outre le côté répétitif et lassant de cette expression toute faite, je déplore cette euphémisation : comme si les actes violents étaient le fait de personnes extérieures à la manifestation. C’est peut-être le cas certaines fois, mais il me semble que la plupart du temps cette violence provient de manifestants. Cela ne signifie évidemment pas que tous les manifestants sont violents, mais cela ne dédouane pas non plus ces derniers d’une certaine responsabilité dans ces violences, ne serait-ce qu’en tolérant la présence de manifestants qui ne viennent que pour cela.

On aime ici parfois (et gentiment) reprendre les erreurs de langage de nos journalistes bien aimés du service public, d’autant plus pardonnables quand par nature la radio les transforme en grands moulins à paroles. Bien obligé de reconnaître aussi qu’ils peuvent subir la mauvaise influence de leurs invités eux-mêmes. Ainsi, ce samedi matin, entre 8 h 30 et 9 heures, entendait-on ce genre de syntaxe douteuse de cour d’école primaire dans la bouche d’une importante invitée politique : « il faut voir qu’est-ce qu’on peut améliorer ». Et peu après : « pour trouver plus opaque, il faut me dire qu’est-ce que c’est ». Et encore ensuite : « il faut voir qu’est-ce qui peut leur convenir. » Le problème est surtout que la dame en question est notre ministre en charge… de l’enseignement supérieur ! Désespéré, on en est donc vraiment à se demander… qu’est-ce qu’on peut y faire.

‘News letter’ . Bonne idée mais, s’il vous plaît, ne pouvez-vous pas trouver un mot en langue française? Je suis toujours horripilée par cette mode d’utiliser des mots anglais comme si la langue française n’avait pas assez de mots ! Déçue.

Bonjour et merci beaucoup pour la qualité de tous vos programmes !Vous êtes loin d’être les seuls à utiliser ce suffixe « gate » pour n’importe quoi, mais ce n’est pas une raison ! Le scandale du Watergate n’avait aucun rapport avec l’eau, les inondations, les marées…Donc l’utilisation du suffixe « -gate » pour tout scandale ne me semble pas pertinent.

J’aime beaucoup (vraiment) vos programmes. Mais franchement l’orthographe du site internet laisse plus qu’à désirer.

Je viens de lire la page de votre chronique du jour, ça pique les yeux ! Et ça donne une image déplorable de la chaîne…
À l’instar de la plupart de vos collègues journalistes, vous ne semblez pas accorder beaucoup d’importance à la lisibilité de votre prose… Car vous n’êtes pas sans savoir, n’est-ce pas, qu’une forme impeccable facilite l’accès au fond : un papier mal torché rebutera le lecteur, qui aura la sensation que c’est illisible ou, du moins, pénible à lire.

De grâce, relisez ou, mieux, faites relire vos papiers — les rédacteurs sont toujours leurs plus mauvais correcteurs : on ne peut pas être à la fois au fond et à la forme.

Je suis une auditrice régulière de France Inter et je lis fréquemment également vos publications sur les réseaux. Si j’apprécie la qualité de vos émissions, je suis très déçue par les nombreuses fautes de grammaire qui gâchent la lecture de vos articles.
Pour vous donner des exemples concrets, sur 5 articles lus ce matin, 3 demandaient à être corrigés. Par exemple, dans l’article « Ces 8 petits gestes qui vous rendent en bonne santé au quotidien », il manque « qui » à « Ce sont 80% des Français déclarent », il manque un -s à « des rideaux occultant », il manque un -s à « pâté de maison ». La phrase « avoir un réseau social riche et la qualité des relations au sein de ce réseau influe […] » est incorrecte grammaticalement, soit il faut modifier le sujet soit il faut mettre le verbe au pluriel.
C’est l’article «  »Glamouriser les violences » : malaise autour de la campagne de Camaïeu » qui m’a décidée à vous écrire lorsque j’ai été choquée par l’erreur de conjugaison dans « vous provoquez des flashs qui leur ferez revivre leur enfer ».
Je comprends bien que vos articles soient souvent une retranscription de ce qui est dit oralement dans vos émissions, et que les règles de l’oral et de l’écrit diffèrent, mais il est choquant de rencontrer autant de fautes sur vos réseaux. Cela est encore plus gênant lorsque ces fautes apparaissent dans vos titres, comme lorsque vous avez annoncé le 15 janvier dernier sur Instagram que « Christine Taubira » officialisait sa candidature à la présidentielle.
Ces nombreuses fautes découragent de continuer à lire vos articles et donnent malheureusement l’impression d’un manque de sérieux.

Je viens de lire l’article sur les résultats de la primaire populaire. Une nouvelle fois, je constate que les efforts de relecture de ce qui est publié ne sont pas au rendez-vous. Des fautes grossières n’ont visiblement pas été détectées.

J’ai la faiblesse de penser que, au moins sur cette application, nous devrions pouvoir compter sur une certaine qualité d’expression écrite.

Serait-il possible de relayer ce point de vue, que je ne suis pas seule à exprimer ?