Et c’est reparti pour l’assimilation des médailles olympiques à des breloques !
Décidément, on aime beaucoup ce mot à France Inter….
Merci de rappeler à vos journalistes la définition de breloque : petit bijou fantaisie de peu de valeur. L’ignorance de la langue française conduit à un mépris certes involontaire des athlètes, mais le mépris est bien là !
Je continuerai ma traque à la breloque, je ne paye pas des impôts pour financer l’ignorance et le mépris.
Et c’est reparti ! Dans le journal sur France Inter est réapparue la célèbre « breloque » en lieu et place de la belle « médaille »… Encore quelques semaines avant les JO pour rappeler à ceux qui causent dans le poste que le terme « breloque » est péjoratif et désigne une décoration médiocre…
Médailles des Jeux olympiques et breloques.
Les athlètes qui l’ont les ont mérités et reçus ainsi que la Monnaie de Paris vont être ravis d’apprendre qu’il ne s’agit pas de médailles mais de breloques.
Je me demande si vous connaissez la définition de breloques : Colifichet de peu de prix, petit bijou que l’on attache à une chaîne de montre, à un ruban, à un bracelet…
En 2021, lors des précédents Jeux olympiques, les journalistes de France Inter faisaient la même confusion. Vous ne vous pas êtes améliorés !
Par pitié, on n’en peut plus. Ne pourriez-vous pas placarder en grand sur les murs de votre rédaction qu’on dit “genèse” (jeunaize) et non “génèse” (jénaize), “gangrené” (gangreuné) et non “gangrèné” (gangrainé), qu’”abasourdi” se prononce “abazourdi” et non “abassourdi”, de même que pour “drone” on prononce “drône” (avec un “ô” fermé comme dans “taupe”) et non “drone” (avec un “o” ouvert comme dans “pomme”). J’en profite pour vous féliciter, à propos des J.O., de ce scoop étincelant selon lequel le pont Alexandre III « est un pont parisien RELIANT LES DEUX RIVES DE LA SEINE » (on avait toujours cru jusqu’à présent que c’était la Garonne ou le Guadalquivir).
Fan inconditionnelle de France Inter depuis plus de 50ans, je dois vous avouer que j’ai été particulièrement agacée d’entendre les invités et journaliste prononcer presque systématiquement les « Haies » : » Hé ».
Dans notre langue française le mot “Haie” ne se prononce pas “Hé” mais bien “HAIE”.
Cela ne m’empêchera pas de suivre les émissions de France Inter.
Pourriez-vous s’il vous plaît indiquer au présentateur du journal qu’on ne dit pas « nos envoyés spécial » mais « spéciaux » ?
Ça pique un peu les oreilles.
Merci et merci pour vos émissions car je ronchonne mais j’écoute France Inter depuis au moins 35 ans.
L’expression des ados “en vrai” est-elle devenue une expression du dictionnaire utilisée par un journaliste du service public ?
L’auditeur du service public est-il obligé de supporter ce nivellement par le bas. Déjà suffisamment présent dans notre société ?
Je croyais que l’émission porterait sur la perte de “é…” rien à voir … vous prononcez “hé” mais il faut prononcer “hè”. La haie où j’ai ramassé des kilos de mûres avec les cousines quand la classe commençait au 15 septembre.
La ville d’Allauch se prononce Allo comme la ville de Cassis se prononce Cassi.
N’existe-t-il pas une base de données de noms propres qui indiquerait comment prononcer les noms propres ?
Mon terrain est entouré de “hées”, de “hets” ?
Eh bien, non, mon terrain est bordé de “HAIES”, mot prononcé comme “mAIs”.
Le travail à la radio nécessite que l’on ait une prononciation correcte (rien à voir avec les accents).
Comment faire la distinction entre Douai et Doué la Fontaine !
Je souhaiterais attirer votre attention sur la prononciation correcte du nom du premier ministre australien, monsieur Albanese. Il faut en effet le prononcer “Alba-Nizi” et non pas “Albanaise” comme je l’ai récemment entendu sur vos antennes. J’ai souvent remarqué des fautes de prononciation pour les mots étrangers, notamment les noms en anglais. Avez-vous un processus de vérification en place qui permettrait d’éviter ce problème récurrent ?
N’y a-t-il pas à France Info un rédacteur en chef qui pourrait mettre à ses équipes les points sur les “i” et surtout les accents circonflexes sur les “o” ; ou les enlever quand le cas se présente, quand de manière répétitive, les auditeurs ont signalé des fautes de prononciation ? La prononciation farfelue de journalistes qui par ailleurs parlent sans accent est à la longue franchement pénible, d’autant plus qu’apparemment vos collègues ne font aucun effort pour se corriger. Aujourd’hui, dans la même interview, « zone » prononcé comme bonne, donne ou nonne au lieu de « zôôône » et « sauf », que votre journaliste fait rimer avec « bof » au lieu de « beauf ». Est-ce trop attendre d’un journaliste habilité à parler sur une chaîne nationale qu’ils prononcent correctement le français ?
Votre invitée a tenu à parler de « fossé genré ». Vous, en revanche, vous l’avez implicitement corrigée en parlant de « gender gap ». Constatant que, à l’instar de beaucoup de Français, vous étiez parfaitement indifférent à l’idée de prouver que la langue française est toujours capable de formuler des concepts contemporains sans être obligée de recourir à l’anglais, la dame vous a alors emboité le pas en optant, à son tour, pour la formulation « gender gap ». « Mais c’est une vétille qu’on va stopper d’apprendre le français ».
En vous écoutant, inciter votre invitée à utiliser « gender gap » plutôt que « fossé genré », j’ai soudain repensé à cette réflexion de Roland Barthes : « Plutôt qu’une crise du français, je parlerais d’une crise affectant l’amour de la langue française ».
Juste une petite chose… »ai » se prononce « è » et donc que des haies se prononcent et s’entendent « hè » et non pas « hé ».
Sacrément agaçant ce tic… « en fait » utilisé, répété, sans cesse et hélas par un très grand nombre de personnes et bien sûr sur votre antenne comme ailleurs… C’est consternant que ce tic s’installe ainsi dans tous les discours, dans les journaux radio, dans les traductions, même dans des chroniques déjà écrites et donc lues, c’est une pollution, un virus car il se répand et contamine l’ensemble de notre société depuis la petite enfance jusqu’aux âgés. Votre radio devrait pouvoir changer, modéliser la façon de parler des auditeurs, première radio oblige…
Voilà plusieurs fois que je suis choquée par des mots grossiers (« putain ») et autres qui sont utilisés dans certaines émissions et autres.
Pour une radio publique, c’est choquant.
Au cours de l’émission de ce dimanche matin, j’ai apprécié le sort que vous avez réservé à l’expression « faire un enfant dans le dos ».
Malheureusement l’expression exécrable « tomber enceinte » a été utilisée au moins deux fois dans la même émission. 1 partout ?
Il serait bien également de faire un sort à cette expression d’un usage malheureusement courant.
Le regretté Bobby Lapointe ironisait sur « tomber dans l’opprobre du ruisseau ».
Je dois réagir à votre feuilleton sur la maladie blanche de l’écrivain tchèque Karel Capek. Je suis d’origine tchèque, cet écrivain est pour moi comme votre Victor Hugo. Je ne comprends pas que vous ne travaillez pas avec des conseillers linguistiques. Il s’agit de la prononciation du nom de l’écrivain. J’ai été terrassée quand j’ai entendu dans la présentation votre « version » phonétique de Capek (Quapesch). Le nom de l’écrivain se prononce Tchapek. Vous ne connaissez pas des Tchèques pour vous conseiller ? Vous ne pouvez pas vous adresser, par exemple, à l’Institut des études slaves ?? Il y a des dizaines de milliers de Tchèques à Paris. Excusez-moi, mais c’est vraiment une honte.
On n’empêche pas « à », on empêche « quelqu’un de faire quelque chose ». A afficher dans tous les studios de Radio France !