Le billet de Frédéric Says, « Pourquoi les anglicismes envahissent-ils le langage politique ? » est à réécouter sur le site de France Culture.
Bravo pour ce billet. Malheureusement, le langage politique n’est pas le seul concerné. Tout langage oral et écrit est soumis à cette mode. Merci pour ce billet réconfortant.
Monsieur, Merci beaucoup. Je suis assez d’accord. Je trouve que de ce fait beaucoup de nuances disparaissent de notre langage et surtout de notre pensée…ce qui se conçoit bien….etc. En capacité, pour être capable, être en mesure de ; en charge de, pour chargée de…etc. Ce “en” maudit qui se glisse partout ! Je suis la maman de grands enfants de la génération Y et Z, grandes écoles etc. Je lutte. Je lutte pour conserver subtilité, finesse, précision de notre langue. J’ai fait un Master d’histoire, 20 ans après mes études de médecine et je dois dire que nos professeurs luttaient contre « impacter » qui se met à toutes les sauces. Je vais réécouter votre billet courageux car à contre-courant de la paresse du langage qui prévaut partout.
Merci à Frédéric Says (un anglicisme déjà en lui-même, vive l’autodérision) pour son billet dénonçant les anglicismes surtout quand une mention en anglais vient s’imposer sur la carte nationale d’identité : un scandale contraire à l’article 2 de notre constitution : « la langue de la République est le français » (le « la » indique bien l’unicité en français).
Merci à Frédéric Says pour son billet sur les anglicismes.
Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément. L’emploi d’anglicismes n’est-il pas également une défaite de la pensée ? Ne pourriez-vous pas davantage développer la dimension idéologique du choix des mots dans une prochaine chronique ?
Il ne peut pas y avoir de volonté réelle pour conforter et développer la francophonie sans une lutte opiniâtre contre l’invasion des anglicismes pédants et paresseux !!
Merci à Frederic Says pour son excellente chronique sur ces horribles anglicismes utilisés en politique. Ça fait sens comme dirait l’autre.
Mais c’est tellement vrai que le langage des politiques part de plus en plus dans des idées et conceptions stratosphériques… Se comprennent ils eux-mêmes ?