L’émission « Un millionnaire pour noël » du 22 décembre 2023 a mis en exergue une journée dans la vie d’un riche habitant de la prestigieuse Villa Montmorency, au cœur du 16ème arrondissement de Paris. Réactions d’auditeurs :
Merci pour la franche rigolade offerte par ce jeune retraité catholique et millionnaire. C’est vraiment un monde que je ne comprends pas. Il n’a aucune conscience des énormités qu’il dit …. Mais il a une très bonne conscience de ses actes prétendument solidaires et chrétiens. C’est un vrai riche convaincu qu’il a bien gagné ses millions, qu’il les mérite et qu’il a une soi-disant éthique du fric !
Pauvre homme mais il veut s’en aller de France car ce n’est plus sûr pour les riches…
Un grand merci pour ce cadeau de Noël (épisode de ce vendredi 22) : c’était du pur bonheur, du concentré de gentil riche, tout en subtilité… j’en ris encore !
Pauvre mec quand même !
Bonnes fêtes à toute l’équipe, et surtout continuez.
Bravo pour ces émissions originales et pleine d’intérêts.
Bravo aussi pour celle d’aujourd’hui ; quel merveilleux conte de Noël à destination des gogos prêts à gober la vision onirique d’un l’enrichissement fabuleux, produit de l’intelligence d’un « parti de rien ».
Un point positif toutefois : ça fait « classe » !!
Pour l’émission d’aujourd’hui sur les fortunés ! C’est trop fort ! Bravo on s’est bien marré et je pense que nous ne devions pas être les seul(e)s ! Merci encore pour la qualité et le sens de vos reportages qui sont l’honneur du service public radiophonique, du moins ce qu’il en reste.
Après l’écoute aujourd’hui : Un riche pour Noël
Je n’envie pas du tout cet homme, mais pas du tout. Je le trouve d’une mauvaise foi remarquable, ce qui est paradoxal quand il s’agit de mettre en avant la foi, la foi en Dieu. Et triste aussi. Il prie et donne quelques sous pour calmer sa conscience qui doit le tarauder, voire il « crame » une après-midi en bienfaisance ou une nuit en dormant près d’une poignée de SDF (une de ses bonnes actions cicatricielles). Il est hors-sol. Et quand il parle de gala de bienfaisance c’est de cuisine dont il parle et des étoiles de son chef.
Non, ce que j’aurais voulu savoir c’est comment il chauffe sa grande maison l’hiver ou la refroidit l’été. À quelle température règle-t-il sa chaudière ? Fait-il un effort côté planète ? Je ne crois pas. Je pense même qu’il s’en fout. Son arrondissement lui suffit mais il a peur et il le dit. Il a peur d’être découvert. Quelle tristesse. Je croyais les riches plus intelligents.
Mais grâce à votre reportage j’ai compris une chose : la religion, les religions servent avant tout à masquer les coupables que nous sommes.
Pour finir je dois dire que votre émission est indispensable et je précise que l’illustration sonore est d’une justesse et d’une intelligence remarquables.
Bravo et merci encore pour ce riche qui me fait peur à son tour par sa fatuité.
A l’écoute de ce merveilleux podcast j’ai été attentif à votre pensée et réflexion sur votre vie. Vous mettez surtout un fort accent sur votre bonté et votre engagement. Le tout agrémenté d’un Jésus qui j’imagine pardonne tout.
Dans ma contrée québécoise cet être suprême n’est plus vraiment à la mode et je suis bien heureux de cette chance.
À un moment vous vous inquiétiez de l’univers qui pourrait se trouver hors de votre citadelle.
Permettez moi de vous exposer l’envers d’une médaille de ce monde financier dont vous vous réclamez et qui vous a alloué votre mode de vie de privilégié.
C’est vrai que ce mot « privilégié » fait tiquer beaucoup d’humains ces temps-ci.
Au tournant des années 2000, j’ai vécu et investi en immobilier aux USA. Deux maisons à revenus en 2003 et 2005. La crise financière de 2008/09, que j’attribue au capitalisme absolu, à la cupidité et l’avarice de ses parties prenantes, a vu la deuxième maison passer de 250,000 $ de valeur à 36,000$ en quelques semaines.
Heureusement c’était un investissement. Je n’ai pas perdu mon « toit ». Mais j’ai perdu beaucoup et les répercussions se feront sentir longtemps.
J’espère que vous redonnez amplement. Votre conscience et vos propres enfants risquent de vous le rappeler. Le monde qui s’en vient ne sera pas tendre avec ce capitalisme égoïste, outrancier et manipulateur.
Bonne et longue vie Yves!