Autour de la question trans et de sa définition, Alain Finkielkraut s’est entretenu ce 11 septembre sur France Culture avec Claude Habib, professeure émérite de littérature française, auteure de La question trans, Le débat, paru aux éditions Gallimard, et Serge Hefez, psychiatre, psychanalyste, thérapeute familial, à propos de son ouvrage, Transitions : réinventer le genre, publié aux éditions Calmann-Levy.
Des témoignages d’auditeurs à retrouver ici :
Un mot pour vous dire, M. Finkielkraut, que la plupart du temps je ne suis pas d’accord avec vous, mais que j’apprécie pourtant la plupart du temps écouter votre émission Répliques qui me permet de connaître l’opinion des autres. Alors surtout, continuez !
C’est tellement regrettable qu’aucun trans n’est été invité à parler de ce sujet si complexe, du coup l’émission s’est réduite à un débat de pour ou contre. C’était comme si vous parliez à la troisième personne des traumas profonds d’une personne présente, sans lui demander son avis. Seul Monsieur Hefez a assez d’expérience et d’empathie sur ce sujet pour pouvoir en parler. Monsieur Finkielkraut pourquoi devenez-vous si vieux jeu dès que vous parlez de certains sujets ? Quant à votre autre invitée, elle n’a pas compris que ce monde est, heureusement, en marche sans elle.. Respectueusement
Pourriez-vous transmettre mes félicitations à Serge Hefez pour la clarté de ses explications et sa capacité à répondre aux outrances agressives de Claude Habib sans perdre son sang-froid ? L’émission était curieusement bâtie, y compris bien sûr par Alain Finkielkraut, comme une double critique de son livre et non comme une discussion du phénomène trans. Je vous remercie de bien vouloir lui adresser ce coup de chapeau et mes remerciements.
Je tiens à remercier A. Finkielkraut pour la qualité de ses réflexions et de ses émissions, toujours très éclairantes.
J’écoute l’émission d’échange entre Serge Hefez et Claude Habib et je remercie beaucoup Alain Finkielkrault qui me permet de mesurer la gravité des dérives que porte le transgenre développé par Serge Hefez et les dégâts à venir sur nos sociétés. Les Chinois auraient-ils compris le danger, qui sont en train de mettre en place des cours de masculinité obligatoire pour les garçons ? Ce serait un comble, car ils sont 1 milliard 300 millions et font une politique de 3 enfants. A trop vouloir jouer les apprentis sorciers (es?) nos démocraties soi-disant avancées sont en train de nous entrainer dans un suicide collectif. Ce n’est pas la cancel culture mais la cancer culture. Répliques est toujours un rendez-vous qui me nourrit, merci !
Je trouve insupportable l’aveuglement de ce psychanalyste et étrange que personne ne lui rappelle que le fondement de ses désirs de changement de sexe est basé sur une totale contradiction : les trans veulent devenir une « image » de l’autre sexe, qui elle-même fausse et socialement construite // sans jamais atteindre réellement ce qui fait vraiment la caractéristique de l’autre sexe, par exemple c’est à dire le fait de procréer dans le cas des femmes. Ils sont dans le faux. Ce « psychanalyste » donne l’illusion de penser, mais tout est un non-sens dans ses propos.
Je ne supporte plus depuis longtemps le… « présentateur » tant ses commentaires sont attendus. Mais aujourd’hui à 9h00, mon mouvement pour éteindre la radio a été arrêté par le sujet. Je suis une vieille dame, MERCI d’avoir laissé parler ce psychiatre qui prend la peine de regarder, lire le monde et ne se réfugie pas derrière les prêt-à-penser simplistes. Merci monsieur le psychiatre de ne pas vous vautrer dans votre statut !
La nausée, en découvrant cette émission ou trois personnes, non-concernées, discourent doctement sur la « question », le « phénomène » trans qui sont si « flous ». Les transidentités, c’est une réalité, complexe, mais très concrète et quotidienne pour beaucoup de personnes. Des personnes qui n’ont apparemment pas leurs places parmi vos invités.