1. Le Covid
2. La crise en Guadeloupe : Stéphanie Mulot et Pierre Odin invités des Matins de France Culture
3. Martin Hirsch, invité du Grand entretien de France Inter
4. Éric Zemmour, invité dans la matinale de Franceinfo
5​​​. Marine Le Pen, invitée du Grand entretien de France Inter
6. Le débat entre Alice Coffin et Brice Couturier sur France Inter
7. Christiane Lambert et Philippe Chalmin, invités du Grand entretien de France Inter 
8. La victoire de l’équipe féminine de rugby oubliée ?
9. Le pronom « iel » : tollé chez les auditeurs
10. Débat de l’actu : le harcèlement scolaire
11. « Des femmes qui boivent » : plébiscite de La Série Documentaire de France Culture
12. Pêle-Mêle de remarques d’auditeurs
13. Coup de cœur des auditeurs : “Prodigue Delphine Seyrig” sur France Inter
14. La langue française

Égalité de traitement 

Au menu de cet édito : Éric Zemmour sur Franceinfo, Alice Coffin et Brice Couturier sur France Inter, le pronom « iel » : tollé chez les auditeurs, Rugby : victoire des filles et des garçons, la série documentaire LSD “Les femmes qui boivent” sur France Culture 

Éric Zemmour sur Franceinfo  

Le polémiste était l’invité de la matinale de Franceinfo lundi 22 novembre. Des auditeurs ont trouvé l’interview excellente, sans complaisance, permettant de confronter l’ancien éditorialiste à ses multiples contradictions avec un recadrage systématique en cas de propos inexacts. D’autres auditeurs n’ont pas compris cette invitation, allant même jusqu’à imaginer que la chaîne a été obligée de l’inviter :   

« Bizarre impression que Radio France a été contrainte et forcée d’inviter Éric Zemmour. Par qui, quand, pourquoi ? » 

« Je trouve que l’interview était excellente. Zemmour a été mauvais (et je m’en réjouis) car très très bien interviewé ! Que les masques tombent et qu’on arrête de lui servir la soupe ! » 

« Je dois avouer qu’au premier abord, j’ai été franchement surpris, déçu, pour ne pas dire indigné, de voir que vous invitiez le polémiste Éric Zemmour dans votre matinale. Déjà, parce qu’on l’entend déjà partout, sans arrêt, ce qui a de manière probable contribué à sa montée sondagière, et que je pensais donc que le service public nous l’épargnerait. Ensuite, parce qu’il n’est même pas encore candidat officiellement, et que dès lors rien ne vous oblige à le convier. Enfin, parce que je pense que nous sommes nombreux et nombreuses à vouloir entendre un discours plus positif et humaniste que le déclinisme névrosé de M. Zemmour.  
J’avais d’ailleurs failli vous écrire avant la diffusion, me promettant de boycotter cette matinale.  
Mais finalement, après coup, j’ai été agréablement surpris par la façon dont vos journalistes ont mené l’interview. Elle était sans complaisance, contrairement au traitement réservé au polémiste sur pas mal de chaînes privées, et a permis de le confronter à ses multiples contradictions et propos abjects. Le confronter à ses propres écrits issus de ses livres était particulièrement pertinent. Procéder à un recadrage systématique en cas de propos non vérifiés ou inexacts également.  
C’est la première fois depuis le début de cette « campagne » qui ne dit pas son nom que je l’ai vu autant en difficulté et en peine de répondre.  
Merci donc, d’avoir si bien mené cette interview, qui je l’espère aura permis de faire prendre conscience aux auditeurs qui est ce personnage. » 

« Fidèle auditrice de Franceinfo, j’ai été particulièrement choquée que vous donniez ce matin la parole à Éric Zemmour dans la Matinale : il n’est ni candidat, ni homme politique, il n’avait rien à faire là. La parole doit lui être donnée lorsqu’il se déclarera, ou créera son parti politique, pas avant. » 

Jean-Philippe Baille, directeur de Franceinfo, répond aux auditeurs : « il n’y a eu aucune contrainte. C’est un choix éditorial d’avoir invité Éric Zemmour. Pourquoi cette invitation ? Parce qu’aujourd’hui, il pèse dans la campagne électorale et je rappelle que depuis le 9 septembre, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a demandé à tous les médias de décompter le temps de parole d’Éric Zemmour parce qu’il le considère comme étant une personnalité politique. C’est en tant que personnalité politique, que candidat, que nous l’avons reçu. D’ailleurs, il n’a pas fait mystère qu’il allait être candidat lors de cette interview. Dans les prochains jours, il annoncera officiellement sa candidature. Donc, il était normal pour nous et pour une chaîne d’information comme Franceinfo de le recevoir, de l’inviter pour lui poser nos questions et ne pas être tributaire, là encore, de ce qui peut être dit ailleurs, de ce qu’il peut dire en meeting ou en réunion publique. Nous voulions lui poser nos questions. C’est ce que nous avons fait. Il est de plus en plus candidat. Il va l’être et nous le recevrons bien entendu de nouveau pour lui reposer nos questions et l’interviewer, comme tous les autres candidats. » 

Dimanche dans le rendez-vous de la médiatrice à 11h51 sur Franceinfo, Jean-Philippe Baille, répond aux questions des auditeurs sur « Les matins présidentiels » et les invités politiques interviewés dans la matinale. 

Alice Coffin et Brice Couturier dans le Grand entretien sur France Inter 

Alice Coffin, conseillère municipale EELV de Paris, auteure du livre « Le génie lesbien » chez Grasset, et Brice Couturier, journaliste et essayiste, auteur de « Ok millenials ! » aux éditions L’Observatoire, étaient hier les invités de Léa Salamé et Nicolas Demorand.  
Un Grand entretien en forme de débat, instauré dans la matinale à l’occasion de la campagne présidentielle pour analyser les thématiques sociétales qui la traversent.  
La formule n’est pas nouvelle mais elle a été particulièrement remarquée hier : 

« Merci à vous pour ce débat contradictoire, trop rare sur votre antenne. Ça fait du bien, quand il est bien mené. N’hésitez surtout pas à le refaire ! Il aide les gens à penser, à réfléchir intelligemment sur des sujets de société très importants. Merci à vous ! » 

« Merci pour l’organisation de votre débat de ce matin, trop rare à mon goût mais ô combien important. » 

Au menu hier : universalisme républicain, wokisme, patriarcat, culture du viol, place des femmes, combats féministes. Ces vingt-cinq minutes d’« échanges » ont suscité le plus volumineux courrier de la semaine avec des points de vue divisés, des prises de position tranchées, une adhésion ou un clair rejet des thèses défendues par l’un ou l’autre. Florilège : 

« Je suis abasourdie. Comment peut-on encore croire, affirmer et entendre sur France Inter que la culture du viol est un mythe ? (…) Je ne sais pas M. Couturier, dans quel monde vous vivez. Peut-être que vous ne connaissez pas autant que moi de personnes victimes de violences. (…) votre déni est insultant. » 

« Infirmière retraitée de 70 ans, féministe de gauche universaliste, je suis consternée par les propos de madame Coffin sans me sentir menacée un seul instant par « son génie lesbien » mais plutôt triste du mépris et de l’arrogance qu’elle distille à chaque phrase contre mes combats qui furent aussi importants que ceux d’Annie Ernaux par exemple dont la vie ressemble plus à la mienne. »  

« Je n’ai pas bien compris la position de votre invitée féminine. Il faut dire que M. Couturier n’arrêtait pas de lui couper la parole et de parler plus fort qu’elle – justement l’attitude masculine dominante dont il dit « ça n’existe pas » ! Belle démonstration. »   

« Merci d’avoir invité Alice Coffin. C’était un immense bonheur de pouvoir l’entendre à une grande heure d’écoute. Cela a été passionnant. N’hésitez pas à la réinviter. » 

« Madame Coffin serait plus entendable si elle était moins outrancière et savait écouter les autres ! sa radicalité m’est insupportable et je suis féministe… » 

« En tant que femme et élue de gauche je ne me retrouve absolument pas dans ces interventions agressives de Alice Coffin qui ne contribue pas du tout à La Défense des conditions des femmes. » 

« Merci pour le débat ce matin. Cette notion de “woke” est nouvelle pour moi.  
Vraiment intéressée par ce débat ! Et très intéressée par ce nouveau mouvement. Je vais emprunter les livres de vos deux protagonistes. Bien sûr qu’il faut se remuer pour les femmes afghanes ! Mais pas que. Je pense qu’on ne peut pas sérier les horreurs. Une femme battue ou harcelée ou pire est tout aussi importante ici ou ailleurs.  
Très intéressée par le discours de votre intervenante. Merci à elle de provoquer ces débats. Et je pense que nous sommes loin de la guerre civile. » 

Ce « Grand entretien » est à réécouter ici.

Le pronom « iel » 

Existe-t-il un autre pays à travers le monde où le nom d’un dictionnaire ferait l’ouverture des journaux et occuperait l’espace médiatique plusieurs jours d’affilée ? La semaine dernière, le Robert a défrayé la chronique en annonçant avoir ajouté le pronom non genré « iel » à son édition en ligne. Le Robert définit le pronom « iel », contraction des pronoms « il » et « elle », comme un « pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre ».  
Cette décision a suscité un vif débat dans la presse française et sur les réseaux sociaux. Plusieurs responsables politiques sont montés au créneau pour s’opposer à ce terme et le gouvernement français n’a pas été en reste, s’opposant catégoriquement à cette idée.  

Dans un communiqué publié sur le site internet du Robert, son directeur général, Charles Bimbenet, s’est défendu de tout militantisme, rappelant que « la mission du Robert est d’observer l’évolution d’une langue française en mouvement, diverse, et d’en rendre compte ». Définir les mots qui disent le monde, c’est aider à mieux le comprendre. » 

Le sujet a été abordé en début de semaine sur les antennes lors de chroniques ou d’interviews, à retrouver ici. Chez les auditeurs de Radio France, l’entrée de ce mot suscite un véritable tollé : 

« Je trouve scandaleuse l’introduction du mot « iel » dans le dictionnaire Robert. Se faire l’instrument d’une minorité refusant l’identité biologique, dont l’objectif est de déconstruire notre humanisme est abject. Quel mépris pour la langue française, et quelle insulte au sens commun ! Il faut refuser cette novlangue en même temps qu’il faut refuser l’activisme envahissant de certaines minorités. » 

« Le n’importe quoi est bien en marche, et vers de l’irréversible » 

« Faudrait qu’on m’explique comment on utilise iel, on en parle beaucoup mais on l’emploie peu… » 

« Blanquer ne fait pas rêver mais pour une fois, je suis d’accord avec lui. Cette invention du iel est avant tout un acte militant et non une évolution de notre langue. Ça frise le débile, tout comme l’écriture inclusive. » 

« La journaliste a invité une adepte du « iel » et seuls des auditeurs favorables à son utilisation ont été entendus. C’est déloyal car la très grande majorité des Français désapprouvent son usage, minuscule d’ailleurs, ce n’est pas une poignée d’hurluberlus qui font ce qu’ils veulent entre eux qui va imposer sa volonté à la population. La rédaction de France Inter ne devrait pas être partisane en soutenant une cause « bouffonne ». » 

« Docteur en sciences du langage et spécialiste des langues scandinaves, je suis scandalisé d’entendre une militante incompétente raconter n’importe quoi. (…) Le pronom « iel » n’est utilisé par personne, sinon une toute petite clique qui veut l’imposer par l’intimidation. (…) ce pronom (pour le moment) n’appartient pas au français. De même, l’écriture inclusive reste minoritaire et illisible pour ceux qui ne la pratiquent pas (et ceux qui la pratiquent aussi). » 

Relevons, parmi l’ensemble du courriel reçu, un unique positif qui tient en quelques mots : « Il, elle… iel est une trouvaille GÉNIALE » 

Invité sur Franceinfo Mathieu Avanzi, maître de conférence et chercheur linguistique à la Sorbonne, a fait part de sa perplexité : « Disons que c’est assez surprenant de la part du Robert, qui fait office de guide, de référence, d’avoir pris la décision aussi rapidement. D’habitude, les lexicographes et les lexicologues qui travaillent pour Le Robert sont beaucoup plus prudents aux effets de mode, et attendent que les mots entrent vraiment dans l’usage. On ne sait pas encore si iel va vraiment rentrer dans l’usage. On l’a signalé, notamment en raison des problèmes qu’il pose d’un point de vue grammatical : comment va-t-on fléchir certains adjectifs ou certains participes passés ? A l’écrit, c’est très simple, il suffit d’utiliser des points médians ou des doublets. A l’oral, c’est beaucoup plus compliqué, il y a des solutions proposées, mais cela va demander une révision totale du système des flexions adjectivales du français. C’est très difficile à appliquer et à mettre en place.” 

Le linguiste estime que « les locuteurs, de toute façon, vont finir par faire ce qu’ils ont envie de faire » de ce pronom dont les occurrences sont apparues « au début des années 2020 (…) surtout sur les réseaux sociaux, sur le Web, mais également tous les écrits électroniques, les communications par téléphone, par Whatsapp, par SMS » a constaté le chercheur.  

L’Académie française est très conservatrice, donc il n’y a aucune chance qu’elle valide ce genre de pronoms. (…) Cette question se pose dans toutes les langues qui ont des genres féminins et masculins. En Amérique Latine, les locuteurs sont beaucoup plus en avance et beaucoup moins normatifs qu’en Europe. Cette question de l’opposition binaire se pose et les locuteurs créent enfin des solutions. Ce qu’il va en rester est une autre question, et les linguistes veillent. » a conclu Mathieu Avanzi dans cette interview nuancée et éclairante. 

Rugby : victoire des filles et des garçons 

Carton plein ! Le XV de France féminin a conclu sa série automnale de trois tests sur un sans-faute, avec une nouvelle victoire probante samedi dernier à Castres contre la Nouvelle-Zélande, championne du monde en titre. 
Le XV de France féminin a donc grimpé à la troisième place du classement mondial World Rugby, après sa brillante victoire samedi devant la Nouvelle-Zélande (29-7). 
Les Bleues, qui ont doublé les Canadiennes, complètent le podium derrière les Black Ferns néo-zélandaises, championnes du monde en titre, et l’Angleterre, première nation mondiale et vainqueur des trois derniers Tournoi des six nations. 

A Castres, dans le stade Pierre-Fabre à guichets fermés, les Bleues, ont montré la voie aux garçons, opposés eux aussi à la Nouvelle-Zélande en soirée au Stade de France.  Au grand regret des auditeurs, cette victoire féminine n’a quasiment pas été évoquée sur les antennes. Pourtant les joueuses du XV de France féminin ont pris un ascendant indéniable sur les Black Ferns, face auxquelles elles comptent désormais quatre succès de rang, dont deux en l’espace d’une semaine après celui décroché à Pau (38-13) le week-end précédent. Victoire là encore peu évoquée sur les antennes, comme l’avaient déjà reproché les auditeurs dans la Lettre de la médiatrice du 19 novembre dernier. Ainsi, deux semaines de suite, nous recevons un abondant courrier qui traduit cette incompréhension :  

« Je viens d’écouter, comme chaque tous les jours, les informations quotidiennes.  Je constate avec amertume et désagrément que les journalistes oublient systématiquement avec conviction de citer l’exploit sportif des joueuses féminines de rugby qui ont battu, par deux fois, la Nouvelle Zélande avec des scores bien plus hauts que l’ont fait les garçons. 
Cela est d’autant plus regrettable quand c’est une journaliste qui est à l’antenne. Votre radio ne peut pas continuer à faire ses promos sur la diversité et la défense des causes sensibles (dont le droit des femmes) et oublier si honteusement de parler de ces exploits sportifs, qui ont aux yeux de nombreux amateurs, autant de valeur que celui des hommes. En espérant qu’enfin les choses changent vraiment. »   

« Vous n’avez pas évoqué la victoire féminine des joueuses de rugby France/Nouvelle Zélande aux infos de 7h30 ce matin. C’est choquant pour un média public ! » 

« Ce dimanche matin j’écoute le journal dans les titres puis dans le journal pas un mot de la victoire des rugbywomens françaises sur les All blacks. La victoire des hommes par contre est citée en premier ? Quel exemple de sexisme ! Je suis choqué. » 

« Il n’est pas question de la victoire des bleues. Il n’y en a que pour les garçons. Mais où est la parité ?!!!! Elles ont été impériales ! Essayez, s’il vous plait de vous en rendre compte. Merci. » 

Nathalie Iannetta, directrice des Sports de Radio France répond aux auditeurs : « La couverture de la tournée d’automne des équipes de France de rugby a été totalement paritaire, des conférences de presse à Marcoussis jusqu’aux commentaires d’après matchs. 
Le problème soulevé par les auditeurs est celui d’un traitement éditorial le lendemain de deux évènements qui ne se jouent pas à la même heure la veille, mais, qui plus est, dans le cas du week-end dernier, ne racontent pas le même exploit. 
Insister sur la performance du XV masculin plus que sur celui du XV féminin est journalistiquement justifié : en effet, ce qu’ont accompli les garçons la veille au soir au Stade de France est historique. Battre les Blacks, et de cette manière, c’est écrire une page victorieuse assez unique de l’histoire du Rugby français. 
La tournée d’automne des filles a, elle aussi, été parfaite, nous les avons suivies et valorisées à ce titre. Pour autant, elles avaient déjà battu les Blacks le week-end précédent. Et peut-être qu’au fond, le véritable exploit sera maintenant de battre les Bleues. Et non plus l’inverse, tant elles sont fortes nos filles ! » 

A moins d’un an de la prochaine Coupe du monde, qui aura lieu en Nouvelle-Zélande du 8 octobre au 12 novembre 2022, les joueuses d’Annick Hayraud se positionnent donc comme des candidates crédibles au titre suprême.  

Des femmes qui boivent, « La série documentaire » de France Culture 

« La série documentaire » sur France Culture proposait la semaine dernière une série en quatre épisodes intitulés « Des femmes qui boivent ». Les auditeurs ont pris le temps de nous écrire pour dire toute l’admiration qu’ils avaient pour cette série. Beaucoup ont été très touchés par les témoignages :  

« Merci beaucoup pour ces séries d’émissions, là j’écoute « Les femmes qui boivent » et c’est extrêmement touchant, c’est fait avec beaucoup de bienveillance et de compassion et d’humanité. Et merci à ses femmes et hommes qui ont le courage d’en parler. C’est intelligent, vraiment, merci. Et pour tous les autres documentaires de LSD, merci. Je me réjouis toujours quand il y a une nouvelle série. Alors, faites que LSD dure longtemps ! » 

« Bravo pour votre émission que j’ai écoutée en podcast. Pas de jugement, de beaux témoignages riches d’enseignements. Et pour moi une piqure de rappel. J’ai arrêté l’alcool il y a 15 ans. Une remarque fondée sur ma propre expérience : l’alcoolisme au féminin est identique à l’alcoolisme au masculin. A quelques détails près. Un regret, que ces émissions ne soient pas plus médiatisées. Encore bravo pour ce que vous avez réalisé. » 

« 1000 mercis pour votre émission que j’adore, mention spéciale pour “Des femmes qui boivent”.  »

« Absolument passionnant…LSD actuellement est la meilleure émission de nos radios ! Merci, merci encore et surtout, poursuivez. ». 

« Et maintenant ? » 

Également passionnant le programme annoncé du premier festival international des idées de demain organisé par France Culture et ARTE à la Maison de la Radio et de la Musique, lundi 29 novembre, et en ligne sur un site dédié : Etmaintenant-lefestival.fr. 

« Et maintenant ? ». C’est la question que notre société se pose depuis près de deux ans après une pandémie qui a bouleversé la planète. Dans un esprit très participatif, ce nouveau festival d’actualité propose de débattre ensemble autour de trois sujets majeurs qui passionnent les auditeurs : le rapport à la science après la pandémie, la participation et l’engagement citoyen au seuil de l’année électorale, les vies personnelles bousculées par les nouveaux enjeux autour du genre, de l’amour, des études ou du travail. 
Ce festival est à retrouver en ligne sur un site dédié : Etmaintenant-lefestival.fr

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Emmanuelle Daviet
Médiatrice des antennes de Radio France​​​​​​​